
L'idée est née des milliers de messages, photos, témoignages postés ici et là sur les réseaux sociaux ou ailleurs, montrant preuves à l'appui que les conséquences de l'épidémie qui touche la planète entière sont parfois aussi positives. Il y a celles sur les réflexions du monde d'après et il y a aussi celle sur un monde, très concret, bel et bien là, appelé environnement.
Parce que donc la réapparition d'oiseaux dans les villes, la pureté retrouvée des eaux et notamment celle des canaux de Venise où une méduse géante s'y est perdue, un air plus respirable en sont des preuves concrètes, s'est concrétisé le projet de graver dans le marbre, en quelque sorte, ce phénomène aussi...
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