
Elle l'a écrit et elle l'a dit, son projet global pour Marseille a un horizon, celui de 2026. "Pas 2040". Un projet global qui doit avoir des effets les plus rapides possibles, entendant, comme elle l'a d'ailleurs souligné dans sa première allocution en temps que Maire, que "les chantiers d'aujourd'hui sont l'avenir de demain".
De la cohérence
Des chantiers qu'il faudra ouvrir vite pour beaucoup, qui prendront plus de temps pour d'autres. "Nous n'allons pas demander aux Marseillais d'attendre 2040. Il faut des mesures immédiates et d'autres qui auront une incidence sur le long terme. Nous ne sommes pas utopistes. Nous savons très bien que certains choix ne seront effectifs qu'après 2026, mais les décisions devront être prises...
augmentation des dépenses sociales
augmentation des coûts de fonctionnement de la municipalité (recrutement d'agents planteurs de salades dans des jardins urbains...)
augmentation de la taxe foncière
Ensuite sortir tous les cadavres des placards pour les enterrer légalement.
Enfin, remettre Marseille sur le chemin du Droit.
Ça va pas être une sinécure, d'autant qu'à Marseille ils ont la gâchette facile.