Il le dit illico, Laurent Londeix s'inscrit dans "l'impulsion donnée par Gérard Giraudon", son prédécesseur à la présidence du Club. Car celui qui a été connu sous le nom de Club des Dirigeants avait déjà engagé une transformation, souhaitant rassembler davantage les petites et moyennes entreprises et engageant par là même un changement de nom en décembre dernier.
Vision stratégique
"Le club avait participé à Sophia Vision 2007", rappelle Laurent Londeix, "nous devons poursuivre notre engagement". Aider les politiques et les aménageurs à envisager ce que sera Sophia-Antipolis demain fait donc partie des souhaits du président. Et en matière de stratégie, Laurent Londeix a des idées précises : "nous voulons être la structure qui fasse le lien social et qui communique sur la technopole. Notre site web doit être une source d'information et de communication, notamment sur les flux, l'idée est aussi d'y intégrer un annuaire des entreprises".
Développement partagé
"Nous voulons être un structure qui aide les entreprises. Nous n'avons pas la volonté de tout faire, mais plutôt d'apporter des outils qui puissent aider", insiste Laurent Londeix. Au chapitre aide, il a aussi la volonté, via la commission emploi, de permettre aux salariés de la technopôle de connaître les opportunités à saisir en la matière. Bien sûr, la problématique transport fait partie des réflexions sur les actions à mener. "L'accessibilité au Parc technologique reste un défi", souligne celui qui est aussi vice-président du pôle SCS et délégué régional PACA d'Orange. "Il faut ête capable d'attirer les talents dont on a besoin, et pour cela les infrastructures doivent être adaptées".
Laurence BOTTERO
Crédit photo : DR
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